BIGOT & PICARD (2002: 305): « Espèce ainsin nommée en raison du caractère inattendu de sa découverte au sein de la section grisescens. »
GIELIS (1996, 2003) und - ihm folgend - die Fauna Europaea (Fauna Europaea Web Service. Last update 22 December 2009. Version 2.1. Available online at http://fauna.naturkundemuseum-berlin.de) stellen eine ganze Reihe von aus den letzten Jahrzehnten beschriebenen europäischen Arten in die Synonymie von Stenoptilia arida (= Stenoptilia aridus).
ARENBERGER (2005) diskutiert die Unterschiede (vor allem in den Genitalien) und gesteht den entsprechgenden Taxa weiterhin Artrecht zu. Es handelt sich um S. gallobritannidactyla, S. grisescens, S. inopinata und S. mariaeluisae (=S. mariiaeluisae). Wir behandeln die Arten hier - zumindest vorerst - ebenfalls als eigenständige Arten.
BIGOT & PICARD (2002: 305-306): « Holotype mâle. Gordes, Le Ribas (Vaucluse), 15 août 1985, à la lumière, J. PEYRON leg., prép. gén. L. Bigot n° 1126.
Allotype femelle. Arles, Station Biologique de la Tour du Valat (Bouches-du-Rhône), 29 mars 1958, à la lumière, R. SCHLOETH leg., prép. gén. L. Bigot n° 84.
Paratypes. Une femelle, Signes, Le Latay (Var), septembre 1992, e. l. sur Chaenorhinum rubrifolium, J. NEL leg., prép. gén. Bigot n° 1552 ; deux mâles, Signes, Montrieux-le-Vieux, vallon du Rayol, e. l. sur Chaenorhinum rubrifolium, J. NEL leg., prép. gén. J. Nel n° 5174.
L'holotype (mâle) et l'allotype (femelle) sont conservés dans la collection Louis Bigot ; les paratypes sont répartis entre les collections Louis Bigot et Jacques Nel. »